PART TWO COURSE OF PROCEDURE
Chapter XXXII
PROCEDURE FOR APPROVAL OF INTERNATIONAL JUDICIAL ASSISTANCE AND EXECUTION OF INTERNATIONAL TREATIES IN JUDICIAL CRIMINAL CASES
Article 503
(1) The applications of the domestic courts for judicial assistance in the criminal cases are delivered to the foreign agencies in a diplomatic course. In the same manner to the domestic courts are delivered the applications of the foreign agencies for judicial assistance, through the Ministry of Justice or directly from the competent court”.(2) In emergencies, if there is mutuality, the applications for judicial assistance may be delivered by the Ministry of internal affairs.
(2) By law it will be determined which courts will be competent for giving international judicial criminal assistance and one court may be assigned to perform the work for all the courts on a certain region.
Article 504
(1) The Ministry of External Affairs will direct the application of the foreign agency for judicial assistance to the Ministry of Justice which will direct it for a procedure to the court on which region the person resides, who has to be handed a writ or who has to be examined or confronted or on which region another investigating act has to be conducted.
(2) In cases under Article 503, paragraph 2 of this Code, the Ministry of Internal Affairs directs the application to the court by the Ministry of Justice.
(3) On the permission and manner of the conducting of the act, which is the case in the application of the foreign agency, decides the court according to the domestic regulations.
(4) When the application refers to a crime for which according to the domestic regulations extradition is not allowed, the court will request an instruction from the Ministry of Justice.
Article 505
(1) The domestic courts may accept the application of the foreign agency with which it is requested execution of the criminal sentence by the foreign court or on the international court”
if it is determined with an international treaty, or if there is reciprocity or if the sanction is also pronounced by the domestic court according to the Criminal Code.
(2) The competent court reaches the verdict at the Chamber under Article 22, paragraph 6 of this Code. The public prosecutor and the counsel will be informed of the session of the Chamber.
(3) The local competence of the court is determined according to the last residence of the convicted person in the Republic of Macedonia- according to his place of birth. If the convicted person has not a residence nor was born in the Republic of Macedonia, the Supreme Court of the Republic of Macedonia will determine one of the courts to be competent before which the procedure will be conducted.
(4) The competent court is the court which is determined by law.
(5) In the pronouncement of the verdict under paragraph 2 of this Article, the court will insert the complete pronouncement and the title of the court with the foreign verdict and will pronounce a sanction, appropriate with the verdict pronounced by the foreign court”. In the elaboration of the verdict will be presented the reasons for which the court has pronounced the sanction.
(6) Against the verdict may appeal the public prosecutor and the convicted person or his counsel.
(7) If the foreign citizen convicted by a domestic court or if the person authorised with an agreement submits an application to the first degree court the convicted person to serve the sentence in his country, the first degree court will act according to the international treaty
(8) Execution of the verdicts brought by the international court has to be performed in accordance with international treaties ratified in accordance with the Constitution of Republic of Macedonia.
(9) The Criminal Council from article 22 (6) of this law , on the local-govern first degree court, with verdict is confirming the authenticity and execution of the international court verdict and determines the manner of the sanction or the other measures of execution.
a) La Cour est habilitée à adresser des demandes de coopération aux États Parties. Ces demandes sont transmises par la voie diplomatique ou toute autre voie appropriée que chaque État Partie choisit au moment de la ratification, de l'acceptation ou de l'approbation du présent Statut ou de l'adhésion à celui-ci.Toute modification ultérieure du choix de la voie de transmission est faite par chaque État Partie conformément au Règlement de procédure et de preuve.
b) S'il y a lieu, et sans préjudice des dispositions de l'alinéa a), les demandes peuvent être également transmises par l'Organisation internationale de police criminelle (INTERPOL) ou par toute organisation régionale compétente.
2. Les demandes de coopération et les pièces justificatives y afférentes sont soit rédigées dans une langue officielle de l'État requis ou accompagnées d'une traduction dans cette langue, soit rédigées dans l'une des langues de travail de la Cour ou accompagnées d'une traduction dans l'une de ces langues, selon le choix fait par l'État requis au moment de la ratification, de l'acceptation ou de l'approbation du présent Statut ou de l'adhésion à celui-ci.Toute modification ultérieure de ce choix est faite conformément au Règlement de procédure et de preuve.
3. L'État requis respecte le caractère confidentiel des demandes de coopération et des pièces justificatives y afférentes, sauf dans la mesure où leur divulgation est nécessaire pour donner suite à la demande.
4. En ce qui concerne les demandes d'assistance présentées au titre du présent chapitre, la Cour peut prendre, notamment en matière de protection des renseignements, les mesures qui peuvent être nécessaires pour garantir la sécurité et le bien-être physique ou psychologique des victimes, des témoins potentiels et des membres de leur famille. La Cour peut demander que tout renseignement fourni au titre du présent chapitre soit communiqué et traité de telle sorte que soient préservés la sécurité et le bien-être physique ou psychologique des victimes, des témoins potentiels et des membres de leur famille.
a) La Cour peut inviter tout État non partie au présent Statut à prêter son assistance au titre du présent chapitre sur la base d'un arrangement ad hoc ou d'un accord conclu avec cet État ou sur toute autre base appropriée.
b) Si, ayant conclu avec la Cour un arrangement ad hoc ou un accord, un État non partie au présent Statut n'apporte pas l'assistance qui lui est demandée en vertu de cet arrangement ou de cet accord, la Cour peut en informer l'Assemblée des États Parties, ou le Conseil de sécurité lorsque c'est celui-ci qui l'a saisie.
6. La Cour peut demander des renseignements ou des documents à toute organisation intergouvernementale. Elle peut également solliciter d'autres formes de coopération et d'assistance dont elle est convenue avec une organisation intergouvernementale et qui sont conformes aux compétences ou au mandat de celle-ci.
7. Si un État Partie n'accède pas à une demande de coopération de la Cour contrairement à ce que prévoit le présent Statut, et l'empêche ainsi d'exercer les fonctions et les pouvoirs que lui confère le présent Statut, la Cour peut en prendre acte et en référer à l'Assemblée des États Parties ou au Conseil de sécurité lorsque c'est celui-ci qui l'a saisie.