Part 1
Requests by International Criminal Court
Section 4
(2) (a) Where a request by the Court involves the disclosure of information and such a disclosure would in the Minister’s opinion be prejudicial to the interests of the security of the State, he or she shall—
(i) in accordance with Article 93.5, consider whether the information can be provided subject to specified conditions or whether the assistance concerned can be provided at a later date or in an alternative manner, and
(ii) if of opinion that the information cannot be so provided, act in conjunction with the Prosecutor, the defendant’s legal advisers or the Pre-Trial Chamber or Trial Chamber of the Court to seek to resolve the issue in accordance with paragraph 5 of Article 72.
(b) Where the Minister becomes aware that such information is, or is likely to be, disclosed in an investigation or proceedings instituted by the Court, he or she shall, in accordance with paragraph 4 of that Article, intervene in order to obtain a resolution of the issue.
(c) If—
(i) the issue remains unresolved, and
(ii) the Minister is of opinion that there are no means by which, or conditions under which, the information could be disclosed without prejudicing the interests of the security of the State,
the Minister shall—
(I) notify the Prosecutor or the Court of that opinion and of the specific reasons for it unless to do so would itself necessarily result in prejudicing those interests, and
(II) participate in any consultations requested by the Court under Article 72.7(a)(i) in relation to the issue.
(d) For the purposes of this subsection Article 72 and paragraphs 4 and 5 of Article 93 shall have effect with any necessary modifications.
Part 1
Requests by International Criminal Court
Section 4
(3) Where compliance with a request by the Court is prohibited under the law of the State on the basis of a fundamental legal principle of general application, the Minister shall, in accordance with Article 93.3, consult with the Court to try to resolve the matter.
Part 3
Requests by International Criminal Court for Arrest and Surrender of Persons
Section 17.—
(4) The Minister shall consult with the Court under Article 97 in relation to any difficulties that may impede or prevent the execution of a request.
Part 3
Requests by International Criminal Court for Arrest and Surrender of Persons
Section 18.—
(4) If, having consulted the International Criminal Court, the Minister decides in accordance with Article 90 that priority should not be given to the Court’s request—
(a) the Minister shall cause the High Court to be notified accordingly, or
(b) if the person is awaiting surrender to another state, subsection (2) (ii) shall cease to have effect in relation to the person concerned.
Part 3
Requests by International Criminal Court for Arrest and Surrender of Persons
Section 19.—
(2) The Minister—
(a) may postpone action on the request until—
(ii) the completion of any consultation between the Minister and the Court under Article 97 in relation to any difficulties that may impede or prevent the execution of the request,
and
Part 3
Requests by International Criminal Court for Arrest and Surrender of Persons
Section 31.—
(1) The Minister may postpone the making of an order under section 30—
(b) in consultation with the Court, where the person concerned is being investigated or proceeded against in relation to an offence that is not an ICC offence, until the conclusion or discontinuance of the investigation or proceedings.
Part 3
Requests by International Criminal Court for Arrest and Surrender of Persons
Section 32.—
Without prejudice to sections 31(4) (b) (i) and 35(2), the Minister may, after consultation with the International Criminal Court, order the release from custody of a person who has been committed under a surrender order if of opinion—
(a) that, in the light of information received after the making of the surrender order, the surrender is prohibited by this Act, or
(b) that the request for the surrender is not being proceeded with.
2. Lorsque la personne dont la remise est sollicitée saisit une juridiction nationale d'une contestation fondée sur le principe ne bis in idem, comme prévu à l'article 20, l'État requis consulte immédiatement la Cour pour savoir s'il y a eu en l'espèce une décision sur la recevabilité. S'il a été décidé que l'affaire est recevable, l'État requis donne suite à la demande. Si la décision sur la recevabilité est pendante, l'État requis peut différer l'exécution de la demande jusqu'à ce que la Cour ait statué.
4. Si la personne réclamée fait l'objet de poursuites ou exécute une peine dans l'État requis pour un crime différent de celui pour lequel sa remise à la Cour est demandée, cet État, après avoir décidé d'accéder à la demance de la Cour, consulte celle-ci.
4. À la demande de la Cour, un État Partie tient avec celle-ci, soit d'une manière générale, soit à propos d'une question particulière, des consultations sur les conditions prévues par sa législation interne qui pourraient s'appliquer selon le paragraphe 2, alinéa c). Lors de ces consultations, l'État Partie informe la Cour des exigences particulières de sa législation.
3. Si l'exécution d'une mesure particulière d'assistance décrite dans une demande présentée en vertu du paragraphe 1 est interdite dans l'État requis en vertu d'un principe juridique fondamental d'application générale, ledit État engage sans tarder des consultations avec la Cour pour tenter de régler la question. Au cours de ces consultations, il est envisagé d'apporter l'assistance demandée sous une autre forme ou sous certaines conditions. Si la question n'est pas réglée à l'issue des consultations, la Cour modifie la demande.
i) Si un État Partie reçoit, d'une part, de la Cour et, d'autre part, d'un autre État dans le cadre d'une obligation internationale, des demandes concurrentes ayant un autre objet que la remise ou l'extradition, il s'efforce, en consultation avec la Cour et cet autre État, de faire droit aux deux demandes, au besoin en différant l'une ou l'autre ou en la subordonnant à certaines conditions.
3. À la demande de la Cour, un État Partie tient avec celle-ci, soit d'une manière générale, soit à propos d'une question particulière, des consultations sur les conditions prévues par sa législation qui pourraient s'appliquer comme prévu au paragraphe 2, alinéa e). Lors de ces consultations, l'État Partie informe la Cour des exigences particulières de sa législation.
Lorsqu'un État Partie est saisi d'une demande au titre du présent chapitre et constate qu'elle soulève des difficultés qui pourraient en gêner ou en empêcher l'exécution, il consulte la Cour sans tarder en vue de régler la question. Ces difficultés peuvent prendre notamment les formes suivantes :
a) Les informations ne sont pas suffisantes pour donner suite à la demande ;
b) Dans le cas d'une demande de remise, la personne réclamée reste introuvable en dépit de tous les efforts, ou les recherches ont permis d'établir que la personne se trouvant dans l'État requis n'est manifestement pas celle que vise le mandat ; ou
c) L'État requis serait contraint, pour donner suite à la demande sous sa forme actuelle, de violer une obligation conventionnelle qu'il a déjà à l'égard d'un autre État.