Chapter 5. Other provisions
Immunity
Section 5
To the extent that it has been agreed under an international agreement that is binding on Sweden, a person who upon summons in accordance with the agreement has entered Sweden in order to be heard or in another way participate in the investigation of an offence may not :
1. be prosecuted or deprived of his or her liberty or in another way subjected to restrictions to liberty by reason of an act, omission or judgment that relates to the time prior to the entry into Sweden and which, as regards a suspect or accused, is not referred to in the request or summons, or
2. without personal consent be ordered to participate in any investigation than that referred to in the request.
The first paragraph also applies to administrative or other procedures as referred to in Chapter 1, Sections 5 and 6.
Section 6
If the person referred to in Section 5 stays in Sweden for more than fifteen days from when notification was obtained from the authority that summonsed the person that attendance is no longer required, the immunity ceases. This also applies if he or she returns to Sweden after having left Sweden.
Section 7
If the agreement contains a provision that immunity shall be less extensive than stated in Sections 5 and 6, that provision applies instead.
Section 8
To the extent that it has been agreed under an international agreement that is binding on Sweden, the provisions in Section 5 to 7 concerning immunity apply also to a person deprived of liberty who has been transferred to Sweden in accordance with Chapter 4, Sections 29 or 31.
2. Les immunités ou règles de procédure spéciales qui peuvent s'attacher à la qualité officielle d'une personne, en vertu du droit interne ou du droit international, n'empêchent pas la Cour d'exercer sa compétence à l'égard de cette personne.
1. La Cour ne peut poursuivre l'exécution d'une demande de remise ou d'assistance qui contraindrait l'État requis à agir de façon incompatible avec les obligations qui lui incombent en droit international en matière d'immunité des États ou d'immunité diplomatique d'une personne ou de biens d'un État tiers, à moins d'obtenir au préalable la coopération de cet État tiers en vue de la levée de l'immunité.
2. La Cour ne peut poursuivre l'exécution d'une demande de remise qui contraindrait l'État requis à agir de façon incompatible avec les obligations qui lui incombent en vertu d'accords internationaux selon lesquels le consentement de l'État d'envoi est nécessaire pour que soit remise à la Cour une personne relevant de cet État, à moins que la Cour ne puisse au préalable obtenir la coopération de l'État d'envoi pour qu'il consente à la remise.
À compter de la date à laquelle la Cour créera un régime de sécurité sociale, les personnes visées aux articles 15, 16 et 17 seront exonérées, en ce qui concerne leurs prestations au service de la Cour, de toutes les cotisations obligatoires aux régimes de sécurité sociale nationaux.