Langue

Mongolie

Constitution of Mongolia

Part IV
The Judiciary

Article 53 [Court Language]

(1) Court trials are to be conducted in the Mongolian language.

(2) A person who does not know Mongolian is acquainted with all the facts of the case through translation and has the right to use his or her native language at the trial.

Criminal Procedure Law of Mongolia

PART I
GENERAL PROVISIONS

CHAPTER TWO
TASKS AND PRINCIPLES OF CRIMINAL PROCEEDING

Article 19. Language in Which Proceedings Shall be Executed

19.2. If persons participating in criminal proceeding do not have command of Mongolian language
then through his/her mother tongue or languages and scripts known to him/her or if mute or deaf then with the help of gestures and special signs and translator, interpreter shall be provided with the right to give testimony, to submit complaint, to make speech in court and to get introduced with all materials of the case.

PART II
PARTICIPANT IN THE CRIMINAL PROCEEDING

CHAPTER FIVE
PARTICIPANTS IN PROCEEDINGS TO PROTECT THEIR OWN INTERESTS OR INTERESTS OF REPRESENTING PERSONS

Article 35. Suspect

35.2.5. to give a testimony in his/her own language or make use of a translator, interpreter;

PART VII
PRE-COURT ACTIONS

CHAPTER TWENTY FIVE
THE GENERAL CONDITIONS FOR CARRYING OUT THE INQUIRY AND INVESTIGATION

Article 191. Involvement of Interpreter

191.1. In instances provided for in Article 19 of this Law, an inquiry officer or investigator shall involve a translator, interpreter in investigative actions.

191.2. The translator, interpreter shall be explained of his rights and duties and shall be warned of his responsibility for making a deliberately false translation or interpretation and this shall be noted in the record of the particular investigative action and shall be certified by the signature of the translator, interpreter.

PART VII
PRE-COURT ACTIONS

CHAPTER TWENTY SIX
PRESENTATION OF THE ACCUSATION AND INTERROGATION OF THE ACCUSED

Article 202. Record of Interrogation of Accused

202.8. If interrogation of the accused is carried out with the participation of a translator, interpreter, the record shall include an indication that their duties and responsibilities and the right of accused to challenge the translator, interpreter have been explained and this shall be certified by the signature of the translator or interpreter.

202.9. The translator or interpreter shall sign each page of the record and the record as a whole.

202.10. If the record of the interrogation has been translated in writing into another language, the translation as a whole and each separate page thereof must be signed by the translator and the accused.

Statut de Rome

Article 50 Langues officielles et langues de travail

1. Les langues officielles de la Cour sont l'anglais, l'arabe, le chinois, l'espagnol, le français et le russe. Les arrêts de la Cour ainsi que les autres décisions réglant des questions fondamentales qui lui sont soumises sont publiés dans les langues officielles. La Présidence détermine, au regard des critères fixés par le Règlement de procédure et de preuve, quelles décisions peuvent être considérées aux fins du présent paragraphe comme réglant des questions fondamentales.

2. Les langues de travail de la Cour sont l'anglais et le français. Le Règlement de procédure et de preuve définit les cas dans lesquels d'autres langues officielles peuvent être employées comme langues de travail.

3. À la demande d'une partie à une procédure ou d'un État autorisé à intervenir dans une procédure, la Cour autorise l'emploi par cette partie ou cet État d'une langue autre que l'anglais ou le français si elle l'estime justifié.

Article 55 Droits des personnes dans le cadre d'une enquête

2. Lorsqu'il y a des motifs de croire qu'une personne a commis un crime relevant de la compétence de la Cour et que cette personne doit être interrogée, soit par le Procureur soit par les autorités nationales en vertu d'une demande faite au titre du chapitre IX, cette personne a de plus les droits suivants, dont elle est informée avant d'être interrogée :

c) Être assistée par le défenseur de son choix ou, si elle n'en a pas, par un défenseur commis d'office chaque fois que les intérêts de la justice l'exigent, sans avoir dans ce cas à verser de rémunération si elle n'en a pas les moyens ; et

Article 87 Demandes de coopération : dispositions générales

2. Les demandes de coopération et les pièces justificatives y afférentes sont soit rédigées dans une langue officielle de l'État requis ou accompagnées d'une traduction dans cette langue, soit rédigées dans l'une des langues de travail de la Cour ou accompagnées d'une traduction dans l'une de ces langues, selon le choix fait par l'État requis au moment de la ratification, de l'acceptation ou de l'approbation du présent Statut ou de l'adhésion à celui-ci.Toute modification ultérieure de ce choix est faite conformément au Règlement de procédure et de preuve.