II. chapter. Handling of extradition cases.
Article 12
A request for extradition shall be made through diplomatic channels, unless otherwise agreed with the State concerned.
The extradition request shall include information on the citizenship of the person wanted to be extradited, his or her place of residence in this country if he or she is known, the nature of the offense and where and when it was committed. If there is a description of the person wanted extradited, it must be included. A request for extradition shall also be accompanied by a copy of the legal provisions to which the act is deemed to apply. If there are significant difficulties in obtaining a transcript, it may be sufficient to explain the legal provisions to those who are believed to have been violated.
A request for extradition for the processing of a case shall be accompanied by an original or certified copy of an arrest warrant or other arrest decision which, in accordance with an agreement, is in accordance with the law of the state in question and which argues that there are valid reasons to suspect the person .
Upon a request for extradition by a person for enforcement in court, the court shall accompany or certify his transcript.
''Article 1 Scope''
If the International Criminal Court requests, in accordance with the Court's Convention of 17 July 1998 (Rome Convention), that actions be taken in Iceland for the investigation or handling of a case, such requests shall be dealt with in accordance with the provisions of this Act. The same applies to requests from the Court for the enforcement of judgments.
Request for actions according to Paragraph 1 shall be sent [Minister] 1) which otherwise communicates with the court on behalf of the Icelandic state.
1. L'État Partie qui a reçu une demande d'arrestation provisoire ou d'arrestation et de remise prend immédiatement des mesures pour faire arrêter la personne dont il s'agit conformément à sa législation et aux dispositions du chapitre IX.
2. Toute personne arrêtée est déférée aussitôt à l'autorité judiciaire compétente de l'État de détention qui vérifie, conformément à la législation de cet État :
a) Que le mandat vise bien cette personne ;
b) Que celle-ci a été arrêtée selon la procédure régulière ; et
c) Que ses droits ont été respectés.
3. La personne arrêtée a le droit de demander à l'autorité compétente de l'État de détention sa mise en liberté provisoire en attendant sa remise.
4. Lorsqu'elle se prononce sur cette demande, l'autorité compétente de l'État de détention examine si, eu égard à la gravité des crimes allégués, l'urgence et des circonstances exceptionnelles justifient la mise en liberté provisoire et si les garanties voulues assurent que l'État de détention peut s'acquitter de son obligation de remettre la personne à la Cour. L'autorité compétente de l'État de détention ne peut pas examiner si le mandat d'arrêt a été régulièrement délivré au regard de l'article 58, paragraphe 1, alinéas a) et b).
5. La Chambre préliminaire est avisée de toute demande de mise en liberté provisoire et fait des recommandations à l'autorité compétente de l'État de détention. Avant de rendre sa décision, celle-ci prend pleinement en considération ces recommandations, y compris éventuellement celles qui portent sur les mesures propres à empêcher l'évasion de la personne.
6. Si la mise en liberté provisoire est accordée, la Chambre préliminaire peut demander des rapports périodiques sur le régime de la liberté provisoire.
7. Une fois ordonnée la remise par l'État de détention, la personne est livrée à la Cour aussitôt que possible.
1. La Cour peut présenter à tout État sur le territoire duquel une personne est susceptible de se trouver une demande, accompagnée des pièces justificatives indiquées à l'article 91, tendant à ce que cette personne soit arrêtée et lui soit remise, et sollicite la coopération de cet État pour l'arrestation et la remise de la personne. Les États Parties répondent à toute demande d'arrestation et de remise conformément aux dispositions du présent chapitre et aux procédures prévues par leur législation nationale.