Langue

Fidji

Fiji - Constitution 2013 EN

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Right to personal liberty
SECTION 9

(3) If a person is detained pursuant to a measure authorised under a state of emergency—
(a) the person must, as soon as is reasonably practicable and in any event within 7 days after the start of the detention, be given a statement in writing, in a language that the person understands, specifying the grounds of the detention;

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Rights of arrested and detained persons
SECTION 13

(1) Every person who is arrested or detained has the right—
(a) to be informed promptly, in a language that he or she understands, of—
(ii) the right to remain silent; and
(iii) the consequences of not remaining silent;

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Rights of arrested and detained persons
SECTION 13

(2) Whenever this section requires information to be given to a person, that information must be given simply and clearly in a language that the person understands.

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Rights of accused persons
SECTION 14

(2) Every person charged with an offence has the right—
(b) to be informed in legible writing, in a language that he or she understands, of the nature of and reasons for the charge;

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Rights of accused persons
SECTION 14

(2) Every person charged with an offence has the right—
(i) to be tried in a language that the person understands or, if that is not practicable, to have the proceedings interpreted in such a language at State expense;

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Rights of accused persons
SECTION 14

(3) Whenever this section requires information to be given to a person, that information must be given as simply and clearly as practicable, in a language that the person understands.

CHAPTER 2 - BILL OF RIGHTS

Access to courts and tribunals
SECTION 15

(6) Every person charged with an offence, every party to civil proceedings, and every witness in criminal or civil proceedings has the right to give evidence and to be questioned in a language that he or she understands.

(7) Every person charged with an offence and every party to civil proceedings has the right to follow the proceedings in a language that he or she understands.

(8) To give effect to the rights referred to in subsections (6) and (7), the court or tribunal concerned must, when the interests of justice so require, provide, without cost to the person concerned, the services of an interpreter or of a person competent in sign language.

Statut de Rome

Article 50 Langues officielles et langues de travail

1. Les langues officielles de la Cour sont l'anglais, l'arabe, le chinois, l'espagnol, le français et le russe. Les arrêts de la Cour ainsi que les autres décisions réglant des questions fondamentales qui lui sont soumises sont publiés dans les langues officielles. La Présidence détermine, au regard des critères fixés par le Règlement de procédure et de preuve, quelles décisions peuvent être considérées aux fins du présent paragraphe comme réglant des questions fondamentales.

2. Les langues de travail de la Cour sont l'anglais et le français. Le Règlement de procédure et de preuve définit les cas dans lesquels d'autres langues officielles peuvent être employées comme langues de travail.

3. À la demande d'une partie à une procédure ou d'un État autorisé à intervenir dans une procédure, la Cour autorise l'emploi par cette partie ou cet État d'une langue autre que l'anglais ou le français si elle l'estime justifié.

Article 55 Droits des personnes dans le cadre d'une enquête

2. Lorsqu'il y a des motifs de croire qu'une personne a commis un crime relevant de la compétence de la Cour et que cette personne doit être interrogée, soit par le Procureur soit par les autorités nationales en vertu d'une demande faite au titre du chapitre IX, cette personne a de plus les droits suivants, dont elle est informée avant d'être interrogée :

c) Être assistée par le défenseur de son choix ou, si elle n'en a pas, par un défenseur commis d'office chaque fois que les intérêts de la justice l'exigent, sans avoir dans ce cas à verser de rémunération si elle n'en a pas les moyens ; et

Article 87 Demandes de coopération : dispositions générales

2. Les demandes de coopération et les pièces justificatives y afférentes sont soit rédigées dans une langue officielle de l'État requis ou accompagnées d'une traduction dans cette langue, soit rédigées dans l'une des langues de travail de la Cour ou accompagnées d'une traduction dans l'une de ces langues, selon le choix fait par l'État requis au moment de la ratification, de l'acceptation ou de l'approbation du présent Statut ou de l'adhésion à celui-ci.Toute modification ultérieure de ce choix est faite conformément au Règlement de procédure et de preuve.