Langue

Albanie

Albania - Constitution 1998 (2016) EN

PART TWO THE FUNDAMENTAL HUMAN RIGHTS AND FREEDOMS
CHAPTER II PERSONAL RIGHTS AND FREEDOMS
Article 31
During a criminal proceeding, everyone has the right:
c. to have free of charge assistance of a translator, when he does not speak or understand the Albanian language;

Albania - Criminal Procedure Code 1995 (2017) EN

GENERAL PROVISIONS
Article 8 Use of Albanian Language
2. Persons who do not know the Albanian language shall use their own language and, through an interpreter, shall have the right to speak and be informed on the evidence, the documents and on the state of the proceedings. Deaf and mute people have the right to use the signs language.
1. Translation and interpretation costs shall be borne by the State.

CHAPTER IV THE DEFENDANT
Article 34/a Rights of the defendant
1. The person under investigation or the defendant shall be entitled to:
be informed in a shortest time possible in a language he understands, on the charge for which he is investigated as well as the grounds of the charges;

TITLE III DOCUMENTS, NOTIFICATIONS AND TIME LIMITS
CHAPTER I DOCUMENTS
SECTION I GENERAL RULES
Article 98 Language of the documents
2. A person who does not speak Albanian shall be questioned in his/her native language or in another language he understands, selected by him. The minutes shall be kept in Albanian.

TITLE III DOCUMENTS, NOTIFICATIONS AND TIME LIMITS
CHAPTER I DOCUMENTS
SECTION I GENERAL RULES
Article 98 Language of the documents
1. Criminal procedural documents are drafted in Albanian language.

TITLE III DOCUMENTS, NOTIFICATIONS AND TIME LIMITS
CHAPTER I DOCUMENTS
SECTION I GENERAL RULES
Article 98 Language of the documents
3. Breach of these rules results in documents invalidity.

TITLE III DOCUMENTS, NOTIFICATIONS AND TIME LIMITS
CHAPTER I DOCUMENTS
SECTION IV TRANSLATION OF ACTS
Article 123 Interpreter appointment
1. A defendant who does not know Albanian language, is entitled to be assisted by an interpreter, free of charge, to understand the charge and follow actions where he takes part. If the defendant declares that he knows Albanian language, he may waive from such right.
2. The proceeding authority shall also appoint an interpreter when a written document must be translated into a foreign language, as well as in the cases referred to in article 107 of this Code.
3. An interpreter shall be appointed even if the court, the prosecutor or the judicial police officer, know the language to be translated.
4. The provisions on the appointment of the interpreter for the defendant shall also apply to the victim.

TITLE IX EXECUTION OF DECISIONS
CHAPTER III EXECUTION OF THE CRIMINAL DECISIONS
SECTION I EXECUTION OF FOREIGN CRIMINAL DECISIONS
Article 514 Conditions for recognition
1. The foreign court decision may not be recognized when:
c) the decision has not been issued by an independent and impartial court or the defendant has not been summoned to appear to trial or he /she has not been granted the right to be questioned in a language he understands and to be assisted by a defence lawyer;

Statut de Rome

Article 50 Langues officielles et langues de travail

1. Les langues officielles de la Cour sont l'anglais, l'arabe, le chinois, l'espagnol, le français et le russe. Les arrêts de la Cour ainsi que les autres décisions réglant des questions fondamentales qui lui sont soumises sont publiés dans les langues officielles. La Présidence détermine, au regard des critères fixés par le Règlement de procédure et de preuve, quelles décisions peuvent être considérées aux fins du présent paragraphe comme réglant des questions fondamentales.

2. Les langues de travail de la Cour sont l'anglais et le français. Le Règlement de procédure et de preuve définit les cas dans lesquels d'autres langues officielles peuvent être employées comme langues de travail.

3. À la demande d'une partie à une procédure ou d'un État autorisé à intervenir dans une procédure, la Cour autorise l'emploi par cette partie ou cet État d'une langue autre que l'anglais ou le français si elle l'estime justifié.

Article 55 Droits des personnes dans le cadre d'une enquête

2. Lorsqu'il y a des motifs de croire qu'une personne a commis un crime relevant de la compétence de la Cour et que cette personne doit être interrogée, soit par le Procureur soit par les autorités nationales en vertu d'une demande faite au titre du chapitre IX, cette personne a de plus les droits suivants, dont elle est informée avant d'être interrogée :

c) Être assistée par le défenseur de son choix ou, si elle n'en a pas, par un défenseur commis d'office chaque fois que les intérêts de la justice l'exigent, sans avoir dans ce cas à verser de rémunération si elle n'en a pas les moyens ; et

Article 87 Demandes de coopération : dispositions générales

2. Les demandes de coopération et les pièces justificatives y afférentes sont soit rédigées dans une langue officielle de l'État requis ou accompagnées d'une traduction dans cette langue, soit rédigées dans l'une des langues de travail de la Cour ou accompagnées d'une traduction dans l'une de ces langues, selon le choix fait par l'État requis au moment de la ratification, de l'acceptation ou de l'approbation du présent Statut ou de l'adhésion à celui-ci.Toute modification ultérieure de ce choix est faite conformément au Règlement de procédure et de preuve.